Texte poétique coronadélirant (Corinne) précédé de toutes les consignes
Texte poétique" Corona délirant"
prologue: phrase commune imposée :
Un oiseau traverse le ciel en traînant un nuage derrière lui
mots imposés:
Dans l'introduction :
*Barnabé
Dans le développement:
Voulez vous un whisky ? oh! juste un doigt! Vous ne voulez pas un whisky d'abord?( réf: film la cité de la peur)
une souris ( tous les sens du mot sont admis)
jurologie
louvèterie
Dans la conclusion:
*se trignogner
*lâcher une tubéreuse
Un oiseau traverse le ciel en traînant un nuage derrière lui. Ce nuage a une forme particulière , une sphère pleine de pattes, de tentacules .Il semble flotter fragile, fragile et pourtant, l'oiseau peine, peine. Il est lourd, lourd, où va t-il?
Ah! Il se pose sur le toit de la maison de Barnabé et lâche son nuage, sidéré par l'attitude d'une femme dans le jardin. Une souris un peu vulgaire allongée langoureusement à qui Barnabé dit:
"Voulez vous un whisky ?"
"Oh juste un doigt!"
"Vous ne voulez pas un whisky d'abord?" en la regardant d'un œil lubrique.
Le nuage en tombant , a renversé la bouteille d'alcool, et s'est disloqué. Et vous vous souvenez de sa forme bizarre et bien! ces milliards de gouttelettes se sont répandues et très vite dispersées par l'alcool.
L'oiseau s'exclame :"Ah! là là ,merde, merde, merde ,scrogneugneu, porca puttana, Scheiße , shit; ces cons de virus sont résistants , mon expertise en jurologie ne suffira pas. Il faudra que j'envoie d'autres soldats pour les vaincre .Croyez vous que les chiens et le lieutenant de louvèterie seront efficaces?
Et là! Rien qu'en lâchant une tubéreuse ensemble les chiens de la meute ont "explosé" les virus.
L'oiseau s'envole de nouveau , cette fois, léger, léger sans son nuage de malheur. Il traverse le ciel, il survole les villes, la campagne. Les gens sont dehors, ils se parlent sans se trignogner , rient, se cajolent, et dans son jardin la souris de Barnabé boit son whisky sans arrière pensée!
Corinne Peytoureau le 11/04/2020
Un oiseau traverse le ciel en traînant un nuage derrière lui. Ce nuage a une forme particulière , une sphère pleine de pattes, de tentacules .Il semble flotter fragile, fragile et pourtant, l'oiseau peine, peine. Il est lourd, lourd, où va t-il?
Ah! Il se pose sur le toit de la maison de Barnabé et lâche son nuage, sidéré par l'attitude d'une femme dans le jardin. Une souris un peu vulgaire allongée langoureusement à qui Barnabé dit:
"Voulez vous un whisky ?"
"Oh juste un doigt!"
"Vous ne voulez pas un whisky d'abord?" en la regardant d'un œil lubrique.
Le nuage en tombant , a renversé la bouteille d'alcool, et s'est disloqué. Et vous vous souvenez de sa forme bizarre et bien! ces milliards de gouttelettes se sont répandues et très vite dispersées par l'alcool.
L'oiseau s'exclame :"Ah! là là ,merde, merde, merde ,scrogneugneu, porca puttana, Scheiße , shit; ces cons de virus sont résistants , mon expertise en jurologie ne suffira pas. Il faudra que j'envoie d'autres soldats pour les vaincre .Croyez vous que les chiens et le lieutenant de louvèterie seront efficaces?
Et là! Rien qu'en lâchant une tubéreuse ensemble les chiens de la meute ont "explosé" les virus.
L'oiseau s'envole de nouveau , cette fois, léger, léger sans son nuage de malheur. Il traverse le ciel, il survole les villes, la campagne. Les gens sont dehors, ils se parlent sans se trignogner , rient, se cajolent, et dans son jardin la souris de Barnabé boit son whisky sans arrière pensée!
Corinne Peytoureau le 11/04/2020v
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